O I V les Trois Sons de l’Univers !

O I V les Trois Sons de l’Univers !

Sincères salutations à vous, très chers lecteurs. 

Le 22 mars, je publie sur mon blog, Le Souffle de l’Esprit, l’article « Le langage printanier de l’intraterre ».

Lien : https://souffledelesprist.com/le-langage-printanier-de-lintraterre/

À la suite de cette divulgation, je reçois d’Agnès Andersen, le commentaire suivant :

Que c’est poétique et délicat ! Merci Marie-Pierre. Tu sais animer la nature et nous révéler toute sa magie avec un réalisme bucolique que je trouve très évocateur. Tu nous donnes envie de promenades dans les prés et les bois pour y découvrir et admirer ces trésors que tu nous présentes. En silence, bien sûr, pour ne pas altérer la magie de l’instant.

OIV-le-Nom-Div.

Et si nous savons vraiment associer l’écoute attentive à ce silence sacré, peut-être saurons-nous capter ces Trois Sons de l’Univers, ces Trois Notes de musique O I V des Druides, la Vibration du Monde et son Chant Éternel. L’Âme de la Terre et son appel. 

O I V.

Mais pour cela, comme tu l’écris si bien, entrons en harmonie totale et confiante avec la nature et l’instant, jusqu’à nous abandonner au Souffle Divin peuplé des Fées et des Anges dont tu parles si bien. Merci pour ce voyage dans la simplicité et la pureté de l’Univers.

Et bonjour au printemps !  

Compte tenu de son information sur les Trois Notes musicales O I V, je lui demande si elle souhaite rédiger un article à ce sujet. Le voici : 

O I V le Nom Div

« Au commencement fut le Verbe… Et le Verbe était Dieu. » nous dit St Jean dans son Évangile.

Le Verbe. Oui, Mais quel Verbe ?

Le Verbe Aimer, peut-être ? 

Aimer. Pas aimer mais Aimer. Aimer au point de donner à l’Entité Aimante l’envie de créer. 

Cette Entité-là Aima tellement qu’elle choisit de créer un Univers. Pour que son Amour s’y répande, encore et encore.

Alors Elle créa l’Univers par son Verbe, son Souffle, d’abord éthérique avant de se matérialiser.

Ainsi, le Verbe serait ce Souffle Éthérique, la Parole de Dieu. Sa Vibration Sonore. Son Chant.

Car nous chantons toujours avant de savoir parler.

Donc, « Au commencement, fut le Chant, le Son. »

L’Univers serait né d’un accord sonore, d’une Mélodie Divine.

Quelle plus belle origine pourrait-il connaître ?

Ainsi pensent les Druides, ces Mages enseignant une doctrine ancestrale, intimement fondée sur la Nature qu’ils vénèrent et respectent plus que tout. Et qu’ils ont transcrit dans une œuvre de toute beauté : les Triades Bardiques, synthétisées dans la Croix Celtique et ses initiations cachées.

La-croix-Celtique

Les Druides ne sont pas les seuls à révéler l’existence de ce Souffle Éthérique, ce Chant cosmique. Mais ils lui prodiguent une telle Foi, une telle confiance, qu’ils sont capables de capter ce Chant, cette Vibration de l’Univers, tant ils se sentent en constante harmonie avec Lui.

Ils l’appellent O I V.

Écoutons le message qu’ils nous en donnent :

« Dieu prononça son Nom d’une certaine manière et avec la Lumière et la Vie prirent naissance les mondes et tout ce qui vit en eux. »,

Cette manière dont Dieu prononça son nom divin est, pour eux, O I V,

Cette Création Divine, O I V, les Druides la symbolisent par Trois Rayons éthériques et sonores. Trois rayons d’une incomparable Lumière qui se rejoignent à l’infini.

Sont-ils les seuls à pouvoir ressentir cet Accord Vibratoire d’origine extra terrestre  ?

Non. Nous en sommes tous capables car le Son de ces Trois Rayons peut être entendu en pleine nature, dans la paix, si nous nous mettons dans un état suffisant de réceptivité. De non-mentalisation.

Il s’agit de s’ancrer à l’Univers, s’y offrir, en devenir un élément holistique, le canal d’une radiation si subtile que, seul, un abandon total, une pleine ouverture à notre Mère-Terre peuvent nous permettre d’y accéder.

Pour cela, pausons-nous dans un endroit tranquille, loin des rumeurs incessantes de la vie moderne, loin des autres, loin, surtout, de tout ce qui ne sait pas se taire. Dans l’extrême pureté de la solitude.

Respirons calmement, les yeux fermés, pour entrer dans l’harmonie tranquille de l’Univers. Laissons nous envahir sereinement de ses vibrations, de ses ondes de silence.

Ses ondes de silence.,,

Alors, peut-être, si nous nous montrons respectueux du lieu, patient, confiant, humble et reconnaissant, entendrons-nous ce Chant montant de la Terre et descendant des cieux pour nous bercer et se connecter en nous, tranquillement, comme un magnifique cadeau que nous offrirait la Vie.

D’abord, nous capterons ce qui ressemble à un O. Peut-être le Om d’autres cultures ? 

Ensuite, nous capterons un I. La pierre levée des Menhirs ? Le Premier des Trois Rayons ?

Ensuite, nous arrivera un V. Vie ? Vérité ? Vibrations ? Ou les deux autres Rayons ?

O I V.

Puis monteront trois notes en accord parfait. Le plus souvent, il s’agit du do, puis du mi, puis du sol. Mais chaque personne le ressentira selon son harmonie intérieure, sa note identitaire,

Cet accord de trois notes s’intensifiera doucement, tout doucement, dans notre corps, dans notre esprit, dans notre âme, surtout. Et rien ne nous semblera plus extraordinaire que ce Chant aussi puissant que silencieux. Une magnificence de notes subtiles soutenues par une vibration mélodieuse qui viendra délicatement activer Ajna, notre Troisième Œil, notre 6ème chakra.

O I V.

O I V. S’agirait-il du phonème Yavé ? L’Origine de tout ?

O I V. Ces Trois Rayons musicaux nous reconnectent à notre moi profond, celui où, bien souvent, notre âme endormie ne demande qu’à s’épanouir.

O I V. Les Trois Rayons Cosmiques. Ceux qui nous relient à nous-même, puis à notre cœur puis à l’Entité que nous appelons Dieu.

O I V. Ce vocable inspirant qui, bientôt, nous donnera la certitude que « Oui, tout est vrai. Tout est réel ». Et surtout que « Tout est tellement simple ! ». Mais comment l’expliquer si l’on ne le vit pas soi-même ?

Plus que la paix intérieure, cette connexion nous plonge dans la conviction profonde que, dans notre vie, tout est à sa place. Et qu’il suffirait d’accepter sa nudité, sa fragilité en se laissant porter avec confiance pour toujours se sentir « dans la main de Dieu », ou de cette Entité que nous appelons Dieu.

Et que « dans la main de Dieu », rien ne peut nous arriver.

Je n’en dirai pas plus, A chacun de vivre  cette expérience aussi transcendante qu’initiatrice. Et qui peut, littéralement, nous soulever du sol, tant, à ce moment-là, l’Univers nous prend dans son aura magnifique.

Car ces Trois Rayons sont tout simplement l’invitation à une Rencontre Divine. Ils feront de nous un canal de Lumière, un lien constant avec l’Univers dont nous nous sentirons, définitivement, un élément à part entière.

Ces Trois Rayons sont un fondement de l’enseignement druidique, si riche et profond. 

D’ailleurs, laissons René Bouchet – Renatos Bod Koad 3 – un des Grands Druides de France, nous en parler.

« Pour retrouver le monde spirituel dont la mort nous a coupé, il faut s’abstraire des contingences physiques de l’incarnation et le Druidisme nous en donne la clé : écouter le silence pour percevoir l’ultra son perçu par le 6ème sens. C’est un rythme très rapide, ressemblant au phonème O I V ou O I D. C’est cela les Trois Rayons. »

J’ajouterai que ces Trois Rayons sont si importants que chaque Druide les dessine au-dessus de sa signature.

Voici celle du Druide Renatos Bod Koad dont j’ai eu le grand honneur de suivre l’enseignement.

OIV.

 

 

 

Agnès Andersen- Ésotérisienne – Écrivain – 

Source: https://www.youtube.com/channel/UCkxdge8IjLsNdDr4I13b2-A

Partagé par :https://akashaphilosophiempa.eu/

 

Cette publication a un commentaire

  1. agnes andersen

    Merci pour la publication, Marie-Pierre. Je t’avoue que je me sens toute émue en revoyant la signature de Renatos Bod Koad, ce Druide tellement sympathique grâce auquel j’ai tant appris. Je le remercie, lui aussi, du fond du cœur, Renatos et son père, Paul. Ils ont déjà « transité » pour retrouver la Vérité Divine. Aucun doute pour moi qu’ils aient rejoint le Cercle du Gwenwed, ce Monde Blanc de la Pureté et de la Vérité. Et qu’ils y poursuivent leur Mission d’Enseignement dont ils portaient toute l’humilité et tout le Rayonnement. Que de beaux souvenirs !

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